samedi 18 avril 2009

Welcome to Saint Joseph

Le jour du départ de Céline, Nathalie et Fredérique était également le jour de notre déménagement. Maintenant, nous sommes sur Saint Joseph.


Voici notre nouveau logement:







Jade est venue nous souhaiter la bienvenue. Au réveil: routes coupées, radiers submergés, ravines qui débordent, coulée de boue dans le centre-ville, inondations... Pas de dégâts pour nous mais une journée de travail très allégée!!











Lulu à Mayotte

Je suis partie à Mayotte avec Céline pour une semaine (au même moment que le référendum pour le passage de TOM à DOM!!).


Mayotte est une petite île perdue au coeur de l'Océan Indien à 2 heures d'avion de la Réunion. C'est la seule des îles de l'archipel des Comores à avoir un lagon. Et quel lagon!! à côté, le lagon de La Réunion est ridicule. Mais cette île reste très pauvre. Il faut avoir le coeur accroché. On se croit difficilement en France. Dépaysement assuré.


Au programme: plages, randonnées, plongées, palmes-masque-tuba, tour de l'île, découverte de la culture mahoraise, de la faune...


Voici quelques photos en vrac.




Le Lac Dziani vu de l'avion. Il est situé à Petite Terre. Il s'agit d'un ancien cratère. Lac couleur d'émeraude, lagon bleu en fond...



Les côtes mahoraises.


Journée bateau direction des îles Choazil. Les dauphins nous ont accompagné!!! Nous avons vu de superbes poissons en palmes-masque-tuba. Les îles sont désertiques avec des plages de sable fin. Malheureusement, nous n'avons pas trouvé de bois sec pour faire griller notre poisson donc nous avons fini avec notre ration de survie: un sandwich aux cookies!!!



Les plages et les îlots de sable blanc. Nous étions toujours seules sur les plages. Et oui, ce ne sont pas les plages vendéennes! et en plus à certains endroits, l'eau était vraiment brulante, nous avions du mal à y rester.



Une plantation d'ylang-ylang.


Un baobab.


Un scolopendre.beurkk


Un maki.


Une roussette (chauve-souris énorme et diurne)



Quelques rues de Mayotte...







Le marché de Mamoudzou ("la capitale"). Les femmes sont allongées à même le sol et ne se lèvent pas pour vendre leur produit.



Les "bangas": se sont des habitations fabriquées pour les jeunes hommes de 13-14 ans pour montrer qu'ils sont capables de se débrouiller seuls. Dessus, ils marquent leur espoirs, leurs but... Au fils du temps, ils améliorent leur bangas et l'agrandissent pour en faire leur maison. s'ils se séparent de leur femmes, la maison revient à la femme.

canyoning

coucou,
moi aussi (titi) j'ai voulu découvrir les joies du vertige...
Voici le petit groupe, désolé mais je n'ai pas réussi avoir de grandes photos.
je suis en bas à droite (avec les chaussettes rouges ;-) )
On peut retrouver Delphine et Marie en haut à gauche à coté de notre guide

petite cascade descendue en toboggan
( et non ce n'est pas "tape cul" comme on pourrait le croire)

si, si je vais partir dans le vide et sous la cascade c'est splendide
petite descente en rappel, banal!!
voilà une petite journée sympathique, et bizzarement un peu fatiguante mais je suis motivée à recommencer!!

Le Cap Noir et La Roche Verre Bouteille

Le cap noir est un belvédère exceptionnel sur le cirque de Mafate qui surplombe la rivière des Galets qui descend depuis le pied du Piton des Neiges.
Le cirque est ceinturé par des remparts vertigineux que nous avons emprunté pour aller jusqu’à la Roche Verre Bouteille.
De là, retour au parking par une crête effilée qui sépare Mafate de Dos d’Ane (notre point de départ).
Puis direction la Ravine Bernica et le bassin Pigeon dans les hauts de Saint Paul pour pique-niquer.
Fin de journée sur la plage de Boucan Canot où nous avons rejoint Marie et Delphine. Les petites averses ne nous ont même pas empêchées de nous baigner.

La Chapelle

Du 16 mars au 5 avril, notre colocation est passée de 2 à 5 !! Céline, Fred et Nath sont venues faire un ti’coucou a ou. L’occasion de bat un carré encore et toujours.
La Chapelle : randonnée au cœur du cirque de Cilaos sous un soleil de plomb et éblouissant.
Après
plusieurs montées,
plusieurs descentes,
plusieurs traversées de Bras Rouge,
plusieurs déchaussages et mouillages de pieds,
plusieurs tartinages de crème solaire,
plusieurs « c’est quand qu’on arrive ? »,
plusieurs pauses,
plusieurs « j’ai mal aux pieds »,
plusieurs « il fait toujours aussi chaud ? »,
nous voilà arrivées au pied de la Chapelle, une grandiose falaise striée verticalement qui abrite une cascade. Nous n’avons malheureusement pas pu voir la cascade à cause de la saison des pluies.
Des moments inoubliables accompagnés de bonnes rigolades.